L’Observatoire des métiers, de l’emploi et des formations de la filière équine (Omeffe) - équi-ressources – IFCE, soutenu par la FFE et la CPNE-EE, a souhaité en savoir plus sur la relation au travail qu’entretiennent les enseignants d’équitation indépendants (EEI). 

Sur la base d’un recensement puis d’enquêtes directes auprès de la population ciblée, l’OMEFFE révèle que derrière un statut d’exercice de l’activité, il n’y a pas un mais quatre profils-types d’EEI très différents qui répondent à de réels besoins : autant à une demande de pratique de l’équitation « hors structure » qu’à une demande des centres équestres.

Le salariat en établissement équestre n’attire plus autant qu’avant. L’entreprise individuelle et le micro-entrepreneuriat plus particulièrement permet à une partie des enseignants diplômés d’exercer leur passion en autonomie et de tester sans risque leurs aptitudes au métier. Même si le turnover est assez important dans les 3 premières années d’exercice (précarité des emplois, besoin en compétences commerciales), la majorité souhaite continuer à exercer sous ce statut en complétant leur offre de services, ce qui ne va pas sans poser de question lorsqu’il s’agit de prestations liées au travail du cheval.

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IFCE